Résumé : Cet article expose l'ambiguïté du rapport que Jules Renard (1864-1910) peut entretenir avec la gloire, à la fois recherchée et vaine, réjouissante et ridicule.
Stéphane Gougelmann. « Jules Renard et la “gloriette” littéraire »,. Le Magasin du XIXe siècle, Société des Etudes Romantiques et Dix-neuviémistes (SERD), 2017, La Machine à gloire, p. 275-278. ⟨ujm-02055190⟩